La Transat Café L'OR est impitoyable
Le Golfe de Gascogne malmène quiconque ose le traverser. Plus au sud, les Alizés poussent la flotte vers des vents plus faibles qui demandent patience et intuition.
Les nuits sont longues et humides, le bateau respire et parle à ceux qui savent écouter.
En mer, tout est affaire de rythme et de confiance : il faut savoir prendre les bonnes décisions au bon moment, et parfois être deux pour lire la même vague, comme si la mer vous avait choisis pour raconter son histoire. Sur ce parcours, nous suivrons trois manières de vivre l’océan : la constance d’Arnaud Boissières, en double avec Benjamin Dutreux, la précision humaine de Manuel Cousin, aux côtés de Jean-Baptiste Daramy, l’ingéniosité efficace de Louis Duc, avec Masa Suzuki.
Des styles différents pour une même promesse : maintenir le rythme vers les Tropiques, et pas seulement faire un bon départ.
